What are the roots that clutch

What are the roots that clutch, what branches grow
Out of this stony rubbish? Son of man,
You cannot say, or guess, for you know only
A heap of broken images, where the sun beats,
And the dead tree gives no shelter, the cricket no relief,
And the dry stone no sound of water. Only
There is shadow under this red rock
(Come in under the shadow of this red rock).
And I will show you something different from either
Your shadow at morning striding behind you
Or your shadow at evening rising to meet you;
I will show you fear in a handful of dust.Frisch weht der Wind
Der Heimat zu
Mein Irisch Kind,
Wo weilest du?‘You gave me hyacinths first a year ago;
‘They called me the hyacinth girl.’
-Yet when we came back, late, from the Hyacinth Garden,
Your arms full, and your hair wet, I could not
Speak, and my eyes failed, I was neither
Living nor dead, and I knew nothing,
Looking into the heart of light, the silence.
Oed’ und leer das Meer.

Thomas Stearns ELIOT, The Waste Land

Quelles racines s’agrippent, quelles branches croissent
Parmi ces rocailleux débris ? O fils de l’homme,
Tu ne peux le dire ni le deviner, ne connaissant
Qu’un amas d’images brisées sur lesquelles frappe le soleil :
L’arbre mort n’offre aucun abri, la sauterelle aucun répit,
La roche sèche aucun bruit d’eau. Point d’ombre
Si ce n’est là, dessous ce rocher rouge
(Viens t’abriter à l’ombre de ce rocher rouge)
Et je te montrerai quelque chose qui n’est
Ni ton ombre au matin marchant derrière toi,
Ni ton ombre le soir surgie à ta rencontre ;
Je te montrerai ton effroi dans une poignée de poussière.Frisch weht der Wind
Der Heimat zu
Mein Irisch Kind,
Wo weilest du ?“Juste une année depuis tes premières hyacinthes ;
“On m’avait surnommée la fille aux hyacinthes.”
– Pourtant le soir que nous rentrâmes si tard du Jardin des Hyacinthes,
Toi les bras pleins et les cheveux mouillés, je ne pouvais
Rien dire, et mes yeux se voilaient, et je n’étais
Ni mort, ni vif, et je ne savais rien,
Je regardais au cœur de la lumière, du silence,
Oed’ und leer das Meer.

Thomas Stearns ELIOT, La terre vaine

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